NOS MÉTIERS SUR LE TERRAIN
En aval de la fabrication, les équipes de vente subliment la marque et les produits auprès des clients. Elles travaillent sur nos différents réseaux : boutiques Gien, corners dans les grands magasins, revendeurs en France et à l’export, hôtels/restaurants, boutiques de musées…
CAROLINE, responsable de boutique, chez Gien depuis 2020
Quel est ton parcours ? Pourquoi Gien ?
Mon parcours : après des études LEA, j'ai intégré la maison Dior en tant que conseillère de vente, ce qui m’a formée aux codes du luxe. Ensuite j'ai intégré la maison Lalique, où j'ai gravi tous les échelons jusqu'à devenir directrice de boutique. Poste que j'ai occupé plus de dix ans. J'ai ensuite été contacté directement par Gien qui cherchait une directrice pour la boutique rue de l'Arcade. J'avoue que j'avais des aprioris sur la Maison et ses collections, mais en arrivant pour un entretien j'ai découvert "Le Jardin du Palais" et j'ai été subjuguée…
Peux-tu décrire ton métier ?
Diriger une boutique c'est être ambassadeur d'une Maison. Nous sommes là pour mettre en valeur les pièces et transmettre au client tout ce qui a été pensé en amont. Nous sommes le dernier maillon, un maillon essentiel jusqu'au client final.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ce métier ?
J’aime rencontrer des gens très différents : la Française du quartier, le PDG d'une grande maison, un chirurgien esthétique célèbre, des ambassadeurs... En arrivant le matin, on ne sait jamais d'avance qui on va avoir comme clients ! J’aime aussi les affaires spéciales, avec l’accompagnement du client dans la réalisation de son service sur-mesure.
Quelles sont les trois qualités nécessaires dans ton travail ?
L'écoute, l'esprit d'analyse, la maîtrise des différentes étapes de la vente et des codes du luxe.
As-tu un souvenir ou une anecdote à partager ?
J'ai rencontré Sophie Marceau lors d'un tournage dans la boutique pour la promotion de la marque en Asie… et je lui ai même donné la réplique !
LIONEL, responsable commercial nord de la France, chez Gien depuis 1993
Quel est ton parcours ? Pourquoi Gien ?
J’ai commencé à travailler chez Gien il y a une trentaine d'années, après un parcours "pavé" de céramique. Ma première approche du secteur relève du plus pur hasard : un porcelainier souhaitant développer la licence Christian Dior Arts de la table m’a contacté. Juste un rêve pour un épicurien, doté d'un beau challenge ! A posteriori, je dirais que c'était un signe... Le porcelainier fut racheté et me voici chez un confrère, spécialisé en secteur hôtelier : autre univers, autre défi ! Puis le besoin de retrouver l'univers du luxe m'a logiquement dirigé vers cette institution, riche d'histoire et d'ambition, qu’est la Faïencerie de Gien.
Peux-tu décrire ton métier ?
On y conjugue la distribution sélective, le savoir-faire sur mesure, la rencontre avec le patrimoine national… passant d'une table étoilée aux points de ventes des plus prestigieux monuments !
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ce métier ?
On y aborde toutes les facettes de la vente, avec exigence et plaisir. Quel privilège !
Quelles sont les trois qualités nécessaires dans ton travail ?
Ce que cela requiert comme compétence ? Juste de s'y sentir légitime, et de démontrer que choisir Gien dans son point de vente est indispensable ! Ce que cela suppose comme qualité ? L'envie de faire partager un "péché d'envie" à chaque nouvelle collection !
ALEXANDRE, responsable commercial export, chez Gien depuis 2019
Quel est ton parcours ? Pourquoi Gien ?
Bac S, classe préparatoire HEC puis école de commerce à Nancy. Je me suis spécialisé grâce à un MBA dans le marché du luxe à l'export. J'ai ensuite travaillé pour deux manufactures qui produisent en France. Ce qui m'a attiré chez Gien : son savoir faire, son histoire française de plus de 200 ans et son potentiel export dont j'étais convaincu.
Peux-tu décrire ton métier ?
GIEN a une belle notoriété en France et nous souhaitons qu'il en soit de même à l'export. Mon métier consiste donc à développer notre marque dans des pays comme le Japon, la Chine, la Corée, la Russie, la Suède, l'Espagne etc. Pour cela je dois d'abord comprendre le marché que je cible, ainsi que son potentiel. Je dois ensuite rencontrer nos clients et nos prospects. Je cherche d'une part à développer la distribution locale et d'autre part la notoriété de notre marque.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ce métier ?
J'aime avoir ce rôle proche de l'ambassadeur de marque et du savoir-faire français pour une société bicentenaire. J'aime aussi ce défi de réussir à l'implanter de façon pérenne sur certains marchés où nous n’étions pas encore présents. Et j'aime le voyage et la découverte : comprendre différentes cultures, m'adapter aux différentes façons de travailler, de communiquer etc.
Quelles sont les trois qualités nécessaires dans ton travail ?
L'authenticité m'aide personnellement beaucoup à "casser les barrières". Il faut s'intéresser à l'autre, à sa culture, son pays et son entreprise : la curiosité et l'adaptabilité sont donc indispensables. Enfin, il faut être persévérant et savoir travailler de façon autonome.
As-tu un souvenir ou une anecdote à partager ?
Dans le cadre de mon métier j'ai dû me rendre dans près de quarante pays. J'ai par exemple eu la chance de me déplacer en Iran, en Nouvelle Zélande, en Géorgie, au Chili, aux Philippines. J'ai autant d'anecdotes que de pays visités. A bientôt chez Gien pour en parler !